
L'homme porte sa mélancolie, l'herbe sa verdeur
En ce printemps, , je traine un corps, sans jeunesse et sans vigueur
Sous des cieux étrangers, j'erre les mains vides, en ce jour de Pure Clarté
Les chants des villageois m'ont appris le chant du jute et du mûrier
Pleurs et sanglots dans la campagne évoquent guerres et deuils
Sans fin monte la tristesse du voyageur
De grâce, ne laissez pas l'herbe envahir son perron.
(Nguyên Du, 1765-1820)
5 nhận xét:
j'aime bcp la foto et le poeme tres ancien qu'il l'accompagne .... merci pour cet article et gros bisous a toi
flo te fais un bisous, elle en fait à pleins de nanas je trouve! hihi!!!
Le poème... me fait penser à un univers épique ! Dingue ! Ben du coup, spo ma faute, mais j'aime beaucoup !
C'est un texte magnifique. J'aime beaucoup les auteurs chinois, ils ont une facilité a rendre les choses si "legeres", "souples" pareil pour la musique ou la peinture...plus tard j'aimerai beaucoup vivre dans un pays asiatique.
Un très beau poème assurément !
Merci d'être passée sur mon blog Jade !
Ton blog, je le découvre à l'instant et il a l'air fort poétique !
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